Open today: 13:00 - 23:00

By continuing your navigation on this website, you accept the use of cookies for statistical purposes.

La Femme
Mystère

Mystère
MystèreMystèreMystèreMystèreMystèreMystèreMystèreMystère

Artists

La Femme

Catno

BB086 BB086

Formats

2x Vinyl LP Album Reissue Repress

Country

France

Release date

Jan 1, 2021

La Femme Mystère - Born Bad Records dispo au Discopathe Montpellier

On le sait, depuis des débuts fracassants en 2010 avec la doublette magique Sur la planche et Télégraphe, La Femme est l’avenir de la pop française. Rarement groupe d’ici n’aura connu une ascension aussi fulgurante, parcourant l’Hexagone comme les États-Unis avec fougue et passion, énergie et simplicité. De l’underground au grand public, La Femme a bousculé tous les codes en vigueur, mélangeant les genres musicaux (cold wave, synthpop, musique surf, chanson yéyé…) avec une fraîcheur communicative, une vitalité renouvelée. Des morceaux comme Anti-taxi ou Nous étions deux font désormais figure de rengaines éternelles.

Trois ans après Psycho Tropical Berlin (2013) – mémorable premier LP, couronné d’une Victoire de la musique pour « l’album révélation de l’année » –, le groupe le plus insaisissable de sa génération sonnera l’heure de la rentrée le 2 septembre. La Femme compte toujours six membres avec ses deux têtes pensantes Marlon Magnée (chant, clavier) et Sacha Got (chant, guitare), Clémence Quélennec (chant, clavier), Sam Lefèvre (basse), Lucas Nunez Ritter (percussions) et Noé Delmas (batterie). Pour passer le cap du second album, les musiciens prolixes ont composé une trentaine de titres depuis 2013. Seize chansons, au final, ont été mixées par Sonny Diperri (Animal Collective, Hanni El Khatib) et Stéphane “Alf” Briat (Air, Aline, Mustang), déjà aperçu au générique de la discographie de La Femme.

Dévoilé par deux premiers singles – l’electro psyché Sphynx publié quelques jours avant un Olympia printanier à guichets fermés, le tubesque et bien nommé Où va le monde ? paru en pleines inondations –, Mystère est un disque à la fois riche, mature et bigarré. Comme quoi, ces vingtenaires intrépides ont de la réserve et du ressort. Ils en témoignent d’ailleurs explicitement dans l’avant-propos du livret. Plus posé et moins virevoltant que son prédécesseur, mieux écrit et soigneusement arrangé, cet album porte tout l’ADN de La Femme : son, chanson, incarnation.

À propos d’incarnation (vocale), de nouvelles interprètes apparaissent aux côtés de la chanteuse officielle Clémence Quélennec, des habituées Clara Luciani et Jane Peynot. Elles s’appellent Naomi Greene, Mathilde Marlière, Angela Hureau, Sarah Ben Abdallah ou Ambre Hazlewood. Des voix féminines qui se mélangent aux chants de Marlon Magnée et Sacha Got dans des PACS multiples. « Mais où va le monde ?/(…)Où sont mes vrais amis ?/Pourquoi je me méfie/Qu’a-t-on pu bien faire de tous ces sacrifices ? », interrogent fort à propos ces brillants auteurs. Car le répertoire de La Femme s’écrit ainsi, au rythme de la vie, de l’amour, des rêves insensés et des désillusions quotidiennes. « Le présent est la fin du passé et le début du futur… », comme ils aiment à le répéter en chœur, dans cette relation qui tient autant de l’amitié indéfectible que de l’émulation artistique.

Comme à l’accoutumée, La Femme n’a pas son pareil pour décocher des flèches, des fulgurances, des images mentales. « Allez réveille-toi montre-leur que personne ne choisira pour toi la place que tu occuperas dans cette société » (Septembre) ; « Elle ne t’aime pas ciao Bella/Oublie la haine, poursuit ta route laisse-la faire la sienne » (Elle ne t’aime pas) ; « Je veux partir ailleurs que sur Terre dans une station interplanétaire, sur la lune, Pluton, Neptune ou Jupiter, qu’on me laisse en paix des mycoses et des parasites » (Mycose). En élargissant son spectre musical, la formation donne à entendre de nouvelles références, comme l’influence prégnante d’Ennio Morricone, l’incursion disco sur SSD (en souvenir des mois écoulés dans le quartier de Strasbourg Saint-Denis), le lyrisme lysergique du Velvet Underground ou encore une pluie de cordes sur quelques morceaux. Mystère se referme sur La Vague, une longue plage de treize minutes, inspirée par Brian Eno et Pink Floyd, un solo de guitare et l’adolescence passée sur la côte basque. Toujours en phase avec son époque, La Femme reste cette offrande pour la pop française. Un Mystère à suivre passionnément.

Media: Mi
Sleeve: M

21.9€*

*Taxes included, shipping price excluded

Tracked and send in specified vinyle packaging with plastic sleeve protection and stickers. Rip Samples from vinyl, pics and Discount on www.lediscopathe.com. Please feel free to ask informations about our products and sell conditions. We ship vinyles world wide from our shop based in Montpellier (France). Come to visit us. Le Discopathe propose news and 2nd hands vinyls, collectors, rare and classic records from past 70 years

A1

Sphynx

5:43

A2

Le Vide Est Ton Nouveau Prénom

4:06

A3

Où Va Le Monde

5:35

A4

Septembre

3:51

B5

Tatiana

2:43

B6

Conversations Nocturnes

0:21

B7

SSD

4:30

B8

Exorciseur

2:37

B9

Elle Ne T'aime Pas

3:57

B10

Always In The Sun

4:06

C11

Mycose

3:51

C12

Tueur De Fleurs

3:41

C13

Al Warda

5:01

C14

Psyzook

3:22

D15

Le Chemin

4:36

D16

Vagues

13:01

Other items you may like:

Quatre ans après sa première sortie sur Stand High Records avec “Another Night” et suite au succès de ses deux mixtapes enregistrées pour Stand High Patrol, Stepart revient étoffer le catalogue du label avec “Playground” son premier album. Onze tracks principalement instrumentales, à l’exception d’un featuring avec Pupajim, où les basses abyssales côtoient les nappes de synthé analogiques.Porté par des rythmiques d’une finesse redoutable et un sens de la mélodie manifeste, « Playground » révèle ses subtilités au fil des écoutes. Le souci accordé aux détails est saisissant, et l’album ne peut s’envisager autrement que dans sa globalité. Stepart y joue avec les styles. Il y présente son univers et, au grès des courants musicaux, il nous invite à arpenter ses terrains de jeux favoris.Avec son lot de Sub Bass et ses mixs soignés, “Playground” nous renvoie à la grande époque des débuts du dubstep ; celle des LP fondateurs influencés par le reggae. Enregistré à Paris entre 2014 et 2016, l’album constitue une véritable porte ouverte sur le Lost World Studio. Libre à qui le souhaite de venir s’y installer!
Vāsuki Sound launches with its first release - the concept album 'Third Culture' by Michael Diamond.By virtue of his residency at one of the UK’s longest-running nights 'Simple', supporting the likes of Ben UFO, Batu, Ross From Friends, and Daniel Avery, Michael Diamond draws heavily from the sounds of the contemporary UK underground. At the same time, being the latest addition to Brownswood Music’s Future Bubblers family, Michael’s love for jazz and harmony is loud and clear. The consummation of these two influences is his debut concept album ‘Third Culture’ - an LP that coalesces the very best of the jazz and electronic worlds into one seamless composition spanning ethereal jazz-breaks, introspective two-step, sax-driven power ambient and world-building, story-telling electronica.
After it became known that the Red Light Complex in Amsterdam had to close Gilb’R invited his friends Satoshi Yamamura and Abel Nagengast down for a session up in the Triangle studio.The trio dived in head first and with eyes closed. The night was buzzing with impromptu music, singing and poetry and one evening lead to another. The gathered results are a raw homage to it’s illustrious surroundings and can be listened to on an inspired 6 track 12”. The Babel EP is out on Versatile Records.
"Stup Forever, le nouveau Stupeflip, un grand Crou, sans doute le meilleur album"
Two of the acts boldly leading Texas music into the future have now delivered a second chapter of their groundbreaking collaboration, further extending the region’s sonic possibilities. Singer/songwriter Leon Bridges, from Ft. Worth, and trailblazing Houston trio Khruangbin have joined forces for the Texas Moon EP, a follow-up to 2020’s acclaimed Texas Sun project. While the five new songs are clearly a continuation of the first EP, they also have an identity all their own—Bridges calls it “more introspective,” while Khruangbin bassist Laura Lee says it “feels more night time.”When Texas Sun was released, AllMusic called the results “intoxicating” and Paste noted that “their talents and character go together so well.” Now comes the next stage—a set of songs that touch on themes like love, faith, and death while exploring new dimensions of inventive, hypnotic grooves.Significantly, both parties’ musical directions were clearly affected by their time working together. Khruangbin’s most recent album, Mordechai, moved their own vocals much further forward, a change they readily admit was a direct result of working with Bridges. Meanwhile, since these recordings began, in addition to his genre-defying album Gold-Digger’s Sound, Bridges has put out several other challenging, shared tracks, including work with John Mayer, Lucky Daye, and Jazmine Sullivan.Texas Moon represents a genuine and rare achievement, with two of the most respected and innovative acts of their generation truly collaborating to create something new. “As far as an essentially instrumental band, these guys are kind of the top for me,” says Bridges. “I’m honored to have been the first singer that they’ve incorporated in their music.”“It feels really special to me,” says Lee. “It’s not Khruangbin, it’s not Leon, it’s this world we created together.”
Limited to 300 copies ! Good Block return with a second EP of original productions following the success of the '4 Corners EP’ released in 2019. Their sound continues to evolve and mutate, exploring the use of organic instruments, otherworldly samples and synth heavy themes. Delving into more sonically dense ideas, Good Block distil their wide-ranging musical taste down to its essence in the form of the 'Aquaculture EP'. Full cover artwork by the duo, and pressed on clear vinyl.